Parfois longueur de temps

Parfois longueur de temps…


Dans la pratique de la pensée positive et l’harmonisation avec la Vie, la démonstration peut être rapide mais parfois bien longue.

Chaque être est différent et chaque difficulté est, elle aussi, différente. L’histoire d’un individu ne commence pas à sa naissance. Un bébé arrive avec un acquit qui lui vient de sa vie antérieure qui généralement comprends de nombreuses incarnations. Bien sur l’entourage, les conditions qui vont accompagner l’enfant dans son développement vont évidemment l’influencer en favorisant certains traits de son caractère. Mais n’oublions pas que rien n’est du au hasard. L’enfant naît dans la famille qui correspond exactement à ce que l’âme qui s’incarne désire apprendre et expérimenter. Pour certaines personnes une sorte de difficultés sera facile à surmonter, à résoudre harmonieusement alors qu’une autre difficulté sera ardue. Pour d’autres personnes, cela sera exactement l’inverse. L’un résoudra facilement un problème en rapport avec la santé, mais butera longtemps sur un problème financier. Alors qu’un ami lui n’aura aucune difficulté à laisser une difficulté financière se dissoudre dans l’abondance divine mais restera un long temps avec ses difficultés d’expression de la santé.

Le karma peut être comparé à une consigne de gare où nous entreposons nos bagages. Lors de notre départ nous venons y déposer tout ce qui nous a blessé, tout ce qui n’est pas résolu, tout ce que nous avons vécu en donnant pouvoir à une autre puissance que la puissance de l’Énergie Créatrice : les circonstances, la matière, les autres, etc. Lorsque l’âme s’incarne elle ne récupère pas toutes les valises qui se trouvent dans son karma. L’être incarné s’écroulerait sous le poids. De plus nous n’avons à surmonter que ce qui est à notre portée de compréhension. La loi de cause à effet qui est toute justice, peut être rapide dans son effet ou demander plusieurs incarnations, selon le degré d’éveil de l’être. Donc lorsque nous nous sommes incarnés, nous avons pris certains bagages, c’est-à-dire, certaines difficultés et certains traits de caractère.

Lorsqu’une personne découvre la pensée positive il est courant de la voir étonnée du résultat rapide qu’elle obtient. Elle est enthousiasmée. Puis peu à peu les démonstrations sont plus longues et plus difficiles à se faire. C’est un peu comme si au début le mental est pris par surprise. Il ne réagit pas, mais très vite il comprend. Le mental n’est pas un ennemi. C’est un instructeur qui est là pour mettre sur notre chemin les faux pouvoirs : matière, circonstances, l’autre, etc. Afin que l’on arrive à découvrir que le seul pouvoir réel est en nous, immuable et inchangeable. Le mental nous met donc à l’épreuve.

Certaines difficultés seront plus longues à résoudre car plus profondément enracinées en nous. Ces états de conscience erronés nous les développons depuis de nombreuses vies. Il nous faudra donc plus longtemps pour les laisser s’évanouir de notre conscience. Parfois plusieurs années. L’important c’est de persévérer. Il y aura même parfois, une période où l’on aura l’impression que cela s’aggrave. Ne pas arrêter de continuer à travailler le lâcher-prise, cultiver sa confiance et son état de pensée positif. Généralement ces périodes de crises présagent un grand pas en avant vers une nette amélioration. Un peu comme, à l’école, le contrôle qui fait le point de tout ce que nous avons appris.

Un des pièges de la découverte de la pensée positive est de se contenter de désirer régir sa vie en résolvant point par point et en décidant de ce qui est bien ou mal. Là c’est un piège du mental qui se sert de la pensée positive pour imposer sa loi de « je veux ». Certes, lorsqu’une difficulté se présente, d’y méditer, de réciter un texte n’est pas mal évidemment. Mais prendre garde de ne pas décider dans sa conscience de la solution idéale. Notre vue est bien trop limitée. Une solution que à laquelle nous ne pensons peut être la meilleure et celle qui est en harmonie avec notre chemin de vie. Toujours méditer sur l’état de conscience de joie de la solution accomplie sans chercher ni comment, ni quand.

Le fait de répéter les prières positif agit. Cela n’a rien de magique. C’est simplement qu’en récitant ces prières, vous laissez monte en vous, un sentiment positif qui va attirer à lui la solution. Ce qui empêche la démonstration c’est notre foi dans la difficulté. Ce qui amène la démonstration c’est notre foi dans le bien, notre bien. Donc pour faire sa démonstration, répéter régulièrement une prière positive et ensuite méditer en ressentant l’état de bonheur qui serait le notre si la solution était maintenant. Ensuite, surtout ne pas reprendre le problème. A chaque fois qu’il se représente à notre esprit ne pas se laisser aller à l’analyser et le ressasser. Aussitôt, que des pensées s’y rapportant nous arrivent, ne pas lutter contre ces pensées mais en détourner tranquillement notre attention en la fixant sur une petite phrase de vérité, telle que : la solution s’accomplit, le Christ en moi s’en charge, et. A chacun de trouver la phrase qui lui convient selon son ressenti et la forme d’expression de sa foi. Bien entendu toujours accomplir les gestes et actions qui sont nécessaire. Travailler spirituellement ne veut pas dire ne plus rien faire concrètement. Mais même pour ces actes concrets restez confiants que cette puissance qui est en vous, vous dirige et vous guide.

Lorsque vous vous trouvez dans une situation où plus rien ne va et que les problèmes sont si nombreux que vous ne savez lequel doit être résolu en premier, Ou bien le problème semble si énorme qu’il ressemble à une montagne infranchissable. Travaillez ardemment le lâcher-prise. Ce n’est plus vous, par vos capacités du mental, qui pouvez vous sortir de l’impasse. Alors lâchez les rênes et laissez vous guider par cette partie de vous-même qui est unie à l’unique source de Vie. Laissez agir la Puissance. Regardez les œuvres du Père. Restez fermes sur le roc de la conviction de la Toute Puissance de l’Énergie Créatrice qui œuvre en vous et à travers vous lorsque vous laissez le mental au repos. Accomplissez ce que vous ressentirez devoir faire dans la paix de l’âme qui sait que tout concourt à son bien. En agissant ainsi, en faisant attention à ne pas reprendre le fardeau, en acceptant de devoir peut-être accepter les changements d’états de conscience qui se produiront en vous, vous verrez la démonstration de votre bien s’accomplir.

les vies antèrieures?...mouais...avant j'aurais approuvé en donnant la meilleure note.
maintenant, je ne vois plus comme avant.

celà a commencé tout doucement. par le sens du Tarot de Marseille qui a sans doute marqué le début de ma conversion.

maintenant (soit cinq ans après) c'est l'Eglise catholique et la fréquentation des Sacrements autant que faire se peut.

mais dans le tarot de marseille le fou se balade dans toutes les lames puis recommence à chaque fois .... il personnifie la roue des réincarnations ....

çà c'est ce que disait beyrevra.

zut j'ai fait un doublet alors j'efface

non Pierre... Beyrevra n'est pas mon maitre à penser et j'ai etudié le tarot de marseille avec de nombreux bouquins dont un qui s'appelle" le tarot du fou "d'un certain .Behaeghel mais pas seulement ...de nombreux tarologues sont du même avis


Depuis le début de toutes les religions, la réincarnation a été considérée comme une alternative à la mort. Les premiers à en avoir parlé, sont les Egyptiens, quoique cela ne soit pas reconnu par l'Egyptologie officielle, mais dans plusieurs passages du Livre des Morts, il en est fait mention. Plus connus sont le Bouddhisme et l'Hindouisme, qui ont perpétué l'idée de réincarnation jusqu'à nos jours. Au Tibet, quand on parle de réincarnation, on ne peut s'empêcher penser au Dalaï-lama dont tout le monde a retenu qu'il est l'incarnation actuelle du premier Dalaï-lama. En Grèce au 7ème et 6ème siècle avant Jésus Christ, l'orphisme, doctrine théologique admettaient l'immortalité de l'âme. L'âme impure était soumise à des réincarnations successives. Dans les évangiles, le Christ a fait plusieurs fois référence à des vies antérieures " : Jésus dit alors : Je vous le dis, en vérité, parmi les enfants des hommes, il ne s'en est pas levé de plus grand que Jean, le Baptiste. Si vous voulez le comprendre, lui-même est Elie qui devait revenir, que celui-là entende, qui a des oreilles pour entendre " (Saint Mathieu, XI, 11-15). " En vérité, je te le dis : nul, s'il ne naît à nouveau, ne peut voir le royaume de Dieu "(Saint Jean III, 3) Au sujet d'un aveugle de naissance, Jésus, qu'on interrogeait sur les raisons cette cécité, : "Ce n'est pas lui ni ses parents qui ont pêché." (Saint Jean, IX-3). Rappelons-nous que jusqu'en l'an 553 de notre ère, la réincarnation faisait partie de la religion chrétienne, mais a été mis à l'index après le concile de Constantinople, simplement parce que, dit-on, le concept de la réincarnation gênait l'impératrice Théodora (qui avait beaucoup à se reprocher !) et ne voulait pas accepter qu'elle puisse être d'un rang inférieur dans une vie future. Cette croyance fut donc éliminée, mais non totalement interdite, et elle ne fut jamais déclarée anathème. Dans le Zohar : " Toutes les âmes sont soumises aux épreuves de la transmigration ". La Kabbale affirme que les renaissances permettent aux hommes de se purifier. Plus près de nous, au 13e siècle, les cathares disaient : "Nous sommes venus trop tôt ; nous reviendrons dans 700 ans".

pour moi le Christ est ressuscité d'entre les morts.
celà n'a rien à voir avec la réincarnation puisqu'il s'est montré ainsi aux Apôtres.

fernwright a écrit:

pour moi le Christ est ressuscité d'entre les morts.
celà n'a rien à voir avec la réincarnation puisqu'il s'est montré ainsi aux Apôtres.

J'ai peur de mal comprendre...
Quelle est la différence entre ressuciter-réincorporer son ancien corps- et s'incarner dans un autre corps? Dans un cas comme dans l'autre, on trépasse avant l'étape suivante non?
Ressusciter n'est-il pas une réincarnation particulière dans son propre corps (Lazare n'était-il pas un ressuscité lui aussi) ?

paupiere a écrit:

fernwright a écrit:

pour moi le Christ est ressuscité d'entre les morts.
celà n'a rien à voir avec la réincarnation puisqu'il s'est montré ainsi aux Apôtres.

J'ai peur de mal comprendre...
Quelle est la différence entre ressuciter-réincorporer son ancien corps- et s'incarner dans un autre corps? Dans un cas comme dans l'autre, on trépasse avant l'étape suivante non?
Ressusciter n'est-il pas une réincarnation particulière dans son propre corps (Lazare n'était-il pas un ressuscité lui aussi) ?

celà dépend de l'Esprit-Saint de Dieu qui a voulu que le Fils mort sur la Croix d'infamie ait un nom au dessus de tout nom.
c'est la kénose du Père dans le Fils.

comme dit Saint Paul (juif converti) :" je prêche Jésus-Christ crucifié et uniquement celà"