Posté sur l'ancien forum par Flo1972 le 7 juin 2006
Les crânes de cristal ont déjà fait plusieurs fois parler d’eux au cours du siècle écoulé. (Cf. Chris Morton et Ceri Louise Thomas : « Le Mystère des Crânes de Cristal » - Éd. Du Rocher.)
En 1924, Anna Le Guillon Mitchell-Hedges avait 17 ans lorsque, en compagnie de son père adoptif, l'explorateur anglais Frederick Albert Mitchell-Hedges, elle découvrit un crâne en cristal de roche dans les ruines d'un temple de la cité Maya dite "des pierres tombées" à Lubaantùn, au Belize.
En dehors de l'absence des sutures crâniennes, c'est une reproduction quasi parfaite d'un crâne humain féminin. Il pèse 5 kg. Il est composé de deux morceaux, la mâchoire inférieure s'ajustant exactement à la partie supérieure.
Les propriétés optiques du crâne sont étonnantes :
- éclairé par le dessous, la lumière jaillit par les orbites.
- frappé à l'arrière par les rayons du soleil, un faisceau lumineux intense ( susceptible de mettre le feu ) jaillit des orbites, du nez et de la bouche.
Certaine de son authenticité, Anna accepta de confier le crâne à une équipe de scientifiques spécialisés dans la cristallographie de la société Hewlet-Packard.
Après 6 mois de tests, les conclusions tombèrent :
- Ce crâne est constitué d'un quartz naturel extrêmement pur, du dioxyde de silicium "piézo-électrique anisotrope."
- Ses deux parties sont taillées dans le même bloc de cristal de roche.
- Il ne présente aucune trace d'instrument, ni marque microscopique quelconque.
- Il est impossible de dater sa fabrication (car le cristal ne vieillit pas).
- Avec la technologie actuelle de travail du diamant, il faudrait un an pour en obtenir l'aspect extérieur (avec des traces d'usinage que ce crâne ne comporte pas !). Quant aux effets prismatiques, leur reproductibilité serait encore plus difficile à obtenir.
Une fabrication artisanale identique aurait sans doute requis plus de 300 années de travail continu !
Le crâne de cristal d’Anna Le Guillon Mitchell-Hedges
Il existe onze autres crânes de cristal aux mêmes propriétés, connus et répertoriés. En 1996, trois de leurs propriétaires ont accepté de prêter leur exemplaire au British Museum à fin d'expertise.
Et depuis, silence : "No Comment" !!! Les autorités du British Muséum refusent obstinément non seulement de livrer leurs conclusions mais également de dire pourquoi !!!
Une légende Maya est attachée à ces crânes de cristal : lorsque les treize crânes seront réunis, ils révèleront le secret de la vie. Selon la tradition maya, ces crânes nous ont été transmis par les Atlantes qui les tenaient des « Initiateurs venus du ciel » !!!
Barbara Marciniak et Anne Givaudan ont confirmé la récente découverte à Gizeh de preuves de l'existence de l'Atlantide. (Cf. Anne Givaudan : Alliance - Éd. S.O.I.S. et Barbara Marciniak : « Pleialian Sessions ».)
Une salle secrète aurait ainsi effectivement été identifiée. Elle pourrait abriter le treizième crâne de cristal : relié à la mémoire des douze autres, ce crâne contiendrait des archives relatant en détails toute l'histoire de la civilisation atlantéenne, de sa création, de son apogée, puis de sa décadence et de sa chute. Cette mémoire apporterait la preuve irréfutable de la supériorité technologique de cette civilisation sur la nôtre, et elle permettrait d’établir de manière infaillible que c'est bien à cause de l'orgueil des Atlantes et de leur transgression progressive de la Loi d'Amour, que leur continent fut finalement englouti lors d'un effroyable cataclysme.
Le crâne apporterait également la preuve que les dieux du panthéon égyptien n’étaient pas des « divinités », au sens où l’entendent généralement les scientifiques de nos jours, mais bien des envoyés d’Orion, venus initier Thot à la religion solaire, et lui transmettre les clés de l’anti-gravitation et de la dématérialisation/rematérialisation en vue de l’édification des pyramides.
Il semble que les Égyptiens aient été en contact avec de nombreuses civilisations extraterrestres. Les initiations qui avaient lieu dans la Grande Pyramide ouvraient au néophyte l’accès à la multidimensionnalité et aux mondes d’outre-espace.
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